Petite ville de 110.000 hts,
complètement détruite et reconstruite
après un tremblement de terre en 1944.
Premières vignes sur la route de Mendoza.
Arrivés sous un soleil de plomb en milieu
de journée, vent chaud, rues désertes. Le
soir et le matin la ville revit, affluence
autour de la Plaza 25 de
Mayo, et dans les larges rues
bordées de platanes géants. |
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Ville
natale de Domingo
Faustino Sarmiento,
journaliste, enseignant, écrivain, homme
politique, président de la jeune
république vers 1860 et qui reste encore
aujourd'hui une référence en matière
d'éducation.
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La
maison
construite par sa mère, Doña Paula Albarracín,
autour du figuier. Pour la petite
histoire, il fit des études à Paris,
connut la famille Belin, les imprimeurs,
et son unique fille sera mariée à un fils
Belin.
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Le but de notre
étape à San Juan était la visite
du sanctuaire consacré à la Difunta
Correa, à Vallecito (80
kms). Nous ferons le voyage en bus
dans l'après-midi de notre arrivée
par 40° à l'ombre et un chaud vent
d'ouest. Peu de visiteurs ce
jour-là, alors que le lieu en
draine jusqu'à 200.000 les
week-end et jours de fêtes.
Diaporama
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Deolinda
Correa, pendant les guerres
de 1840, suivait le bataillon de son
mari soldat et malade, transportant
son bébé, vivres et eau. Epuisée, elle
finit par mourir sur la route. Quand
des muletiers la retrouvèrent, le bébé
tétait encore le sein de sa mère et
survécut. La légende de la Difunta Correa
était née.
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Malgré
le
refus de l'Église catholique de la
canoniser, elle est vénérée, et on voit de
la Bolivie à la Terre de feu, des petites
maisons en bois le long des routes, où
sont déposées des bouteilles d'eau
par les routiers.
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